Toucher le fond : quand la forme révolutionne le contenu.

Le débat est ressassé voire éculé de savoir qui de la forme ou du fond doit l’emporter. Il est temps de dépasser cette dichotomie simpliste et d’explorer une nouvelle perspective.

Il est possible de se placer en décalage par rapport à cette approche du thème.

L’auteur qui travaille ce fond le communique à sa façon, bien souvent inchangée. Il convient de réfléchir à la façon dont ce fond est communiqué, explicité, transmis à autrui et en quoi il influe sur le contenu même de ce fond. Et c’est là qu’est ma réflexion.

La dialectique du fond et de la forme : un débat éculé ?

Traditionnellement, on oppose le fond (le contenu, les idées) à la forme (la manière de les exprimer). Cette opposition a longtemps alimenté des débats stériles sur la prééminence de l’un sur l’autre. Gustave Flaubert affirmait : « La forme ne peut se produire sans l’idée et l’idée sans la forme. Je crois la forme et le fond deux subtilités, deux entités qui n’existent jamais l’une sans l’autre ».

 Cette vision, bien que juste, reste limitée.

Vers une nouvelle approche : la forme comme catalyseur du fond

Notre réflexion propose un angle différent : et si la forme, loin d’être un simple véhicule du fond, était en réalité un puissant outil pour approfondir et enrichir ce dernier ? L’idée est de considérer la manière dont nous communiquons nos idées non pas comme un simple emballage, mais comme une partie intégrante du processus de réflexion.

Les doubles fonds de la pensée

En explorant de nouvelles façons de communiquer, nous pouvons découvrir des aspects insoupçonnés de notre pensée. Ces « doubles fonds » sont autant d’occasions de découvertes et d’accès à d’autres fondements. C’est en remettant en question nos habitudes de communication que nous pouvons véritablement « toucher le fond » de nos réflexions.

L’importance de l’implication personnelle

Il est crucial que l’auteur du fond ne délègue pas cette réflexion sur la forme à des experts en communication ou en marketing. C’est précisément dans cette dialectique entre le fond et la forme que se révèle la véritable essence de la pensée de l’auteur.

Innover pour approfondir

En s’interrogeant sur les diverses et innovantes façons de communiquer, l’auteur peut non seulement toucher son public de manière plus efficace, mais aussi approfondir sa propre compréhension du sujet. C’est dans ce processus que l’on peut véritablement « toucher le fond ».

Partagez vos expériences ! Avez-vous déjà constaté que changer votre façon de communiquer une idée vous a permis de la comprendre différemment ou plus profondément ? Racontez-nous comment innover dans votre communication vous a aidé à explorer de nouvelles perspectives sur vos sujets de prédilection. Ensemble, enrichissons nos fonds par des formes innovantes !

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Ce qu’en bon manager les mots veulent dire.

Il n’est jamais perdu le temps pris à s’assurer de ce que les mots veulent dire.

 Et ce dictionnaire « Dico du manager » coécrit par Olivier Meier aux Editions Dunod en est un bon exemple.  Avec un grand merci à Mouffouk Badr pour son partage sur Linkedin.

De belles rencontres, chemin lisant,

Au fil de la lecture, les rencontres et échanges sont pleines d’enseignements. Chacun de nous selon son bagage et son parcours fera sa propre récolte. Pour ma part, chemin faisant, j’ai échangé avec plaisir, entre autres, avec : « Economie de champs ; Escalade de l’engagement ; Hypothèse Hubris ; Intuition managériale ; Mémoire organisationnelle ;  Minorité anomique / Minorité nomique ; Nœud de contrat ; Partenariat d’impartition ; Stratégie (rarement) délibérée ; Syndrome du survivant ;Théorie de l’écologie des populations ; Théorie de l’enracinement…

Et une halte ressourçante.

Plus qu’à tout autre mot, j’ai apprécié mon échange avec « l’Eco-efficience » qui en toute transparence m’a décliné son identité : « L’éco-efficience d’une entreprise est atteinte par la distribution à un prix compétitif de biens qui satisfassent les besoins humains et apportent de la qualité de vie, tout en réduisant progressivement les impacts écologiques et l’usage des ressources tout au long du cycle de vie. ».

Voilà qui revigore pour la suite du parcours.

« Buen Camino ! » Et bonne lecture.

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