
Et si la clé de la stratégie gagnante résidait dans notre capacité à croire en notre propre pouvoir d’action ?
Merci à Michaël V. Dandrieux qui, dans un de ses posts, insiste dans son post sur la nécessité pour les entreprises de se réinventer en affirmant leur singularité comme l’affirme son titre :
« L’opposé du courage, ce n’est pas la lâcheté, c’est le mimétisme. »
Voilà qui résonne profondément, en moi, avec une notion chère à la psychologie et au management : le locus de contrôle interne.
Croire en son pouvoir d’action
Ce concept, théorisé par Julian Rotter en 1954, distingue ceux qui croient maîtriser leur destin (locus interne) de ceux qui l’attribuent à des forces extérieures (locus externe).
Pour une entreprise, comme pour chacun de ses acteurs, c’est une question de posture stratégique :
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Une organisation qui cultive son locus interne affirme sa voix, trace sa route et s’impose sur son marché par des choix délibérés, plutôt que de subir les tendances.
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Des collaborateurs imprégnés de cette même conviction osent innover, prendre des initiatives et s’engager pleinement, car ils se sentent acteurs de leur succès.
Développer le locus interne à tous les niveaux
Un défi autant stratégique que managérial :
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Choisir le cap de l’entreprise en alignement avec l’étoile de sa vision
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Donner du sens aux actions individuelles et collectives
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Déléguer la responsabilité et valoriser l’autonomie
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Aligner la culture d’entreprise sur une vision claire, où chacun comprend son impact
Du mimétisme au courage
Comme le souligne avec justesse Michaël V. Dandrieux :
« La lâcheté, le chemin de la moindre résistance, c’est le mimétisme. »
À l’opposé, c’est en croyant en notre capacité à influencer le cours des choses – en tant qu’entreprise comme en tant qu’individu – que nous transformons les défis en opportunités.
Alors ayons le courage de notre individualité !
Merci encore à Michaël V. Dandrieux pour ses interpellations inspirantes.
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