Mesurer le négatif pour créer du positif.
De la positivé du négatif
L’engagement se mesure à son absence
Comme l’expose Victor Waknine dans cette interview donnée à Topformation.fr l’engagement ne peut être mesuré directement ; c’est plutôt son absence qui est quantifiable. On ne peut pas mesurer l’ordre, seul le désordre se mesure. Cette approche permet d’identifier le coût du désengagement et d’en déduire des leviers d’action concrets.
Des leviers pour favoriser la motivation
Parmi ces leviers, l’autonomie, la reconnaissance, l’équilibre vie professionnelle-vie personnelle et la qualité du management jouent un rôle clé. Ces éléments, une fois pris en compte, permettent d’agir sur les sources de motivation et de réduire le désengagement.
Vers une amélioration continue ou une rupture nécessaire ?
L’article présente cette approche comme une démarche d’amélioration continue. Toutefois, face à l’écart croissant entre les attentes des entreprises et celles des salariés (ou non-candidats), ce désengagement impose parfois une transformation plus radicale des pratiques et des structures organisationnelles.
L’IBET ©: un indicateur précieux
L’IBET (Indice du Bien-être au Travail), développé par Victor WAKNINE, agit comme une alarme incendie. Il permet d’identifier les points critiques et d’intervenir avant que le feu ne se propage. Un outil précieux pour prévenir et réagir efficacement au désengagement.
Repenser le « bien-être » au travail
Un regret subsiste : le terme « bien-être » au travail est souvent galvaudé. Il doit être qualifié pour éviter les dérives superficielles et recentrer le débat sur l’essentiel : un environnement de travail propice à l’engagement durable.
Conclusion : Agir maintenant
Identifier les signaux du désengagement est une première étape. Transformer cette analyse en actions concrètes est la vraie clé du changement. Entreprises et décideurs, il est temps de prendre en main ce levier essentiel pour réconcilier performance et engagement.