Andrea Petrone nous propose avec pertinence dans ce post « How to ask questions that shifts the room » 10 façons de poser pour un CEO (mais en fait pour chacun de )des questions qui inspirent l’autre et l’aidant à penser et à agir. C’est là également la mission que se donne Yves Richez, PhD dans son article « Comment poser une bonne question ?« . Ou encore Jean-Philippe Denis dans une de ses chroniques, qui nous rappelait que « Diriger, c’est aussi l’art de se poser les bonnes questions« .
Merci à tous pour ces pistes qui sont autant de « béquilles » pour approcher pour soi et pour l’autre un pan de la réalité qui nous échappait faute d’avoir la réponse à ces questions.
Mais avant de nous armer de ces béquilles qui nous aideront à boitiller vers la vérité de la réalité ne convient-il pas de nous poser la question de la question ? Avant de savoir comment nous poser ces questions et comment les poser à autrui, ne convient-il pas de savoir ce qui fait que nous nous les posons et que nous les posons et dans quel but. Cette question m’accompagne depuis longtemps comme j’en rendais compte il y a quelques temps dans cet article « La question sans réponse » en écho à la chronique de Jean-Philippe Denis. Si, avec gourmandise nous revient à l’esprit cette célèbre réplique « C’est peut-être pas votre question mais c’est ma réponse », je reste pour ma part avec ma question sans réponse.